The Master



Le genre : chef d'oeuvre 

Le pitch :  Le sillage tourmenté de Joaquin Pheonix dans le rôle d'un associal violent bientôt converti à la secte Hubbardienne de Philip Seymour Hoffman.  

Ce qu'on aime.

L'image : Tourné en 70mn pour recréer l'atmosphère des 50's et magnifier la pellicule, les décors, la lumière, le style en permanence. Hopper comme une évidence.

L'acting : Toucher l'essence même du jeu de composition, et ceci à chaque plan. On est très vite convertis par la précision de la mise en scène, la densité dramatique ponctuée par des silences de cinéma comme rarement sublimés. Le scénario, jamais linéaire, nous propose des scènes aux couleurs variées entre émotion, poésie, humour ou tension lancinante. Une palette méticuleuse orchestrée par le vrai maître de ce film hors catégorie. La boucle est bouclée.

Y aller ? Y retourner.

NC

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